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vendredi 18 septembre 2009

Rêver, se lever et agir



Avez-vous déjà eu l’impression d’attendre que quelque chose de fantastique se produise ? De souhaiter être ailleurs ? De rêver à votre future entreprise ?

Et si votre vie était un jeu, seriez-vous les oscarisés de la prétention ? Seriez-vous être des gagnants ?


Imaginez votre vie comme une aventure. Certaines prendront instinctivement des risques, d'autres seront plus prudentes. Auriez-vous, alors, le même récit pour le même périple ? Je ne crois pas. Que ce soit à la maison, au travail, dans notre communauté, le jeu de notre vie est semé de difficultés dont les résultats sont inconnus, les succès et l’épanouissement possibles. Seulement, les risques existent, certains doutes planent et tout ne peut pas toujours être prévu.


Vous avez cependant, le pouvoir de décider, de faire des choix, de prendre des risques ou pas. Ce pouvoir de décision alimentera le parcours de votre aventure: vous pouvez décider de survivre en regardant passer la vie, en étant spectateur de celle-ci ou vous pouvez prendre votre aventure en main, passer à l'action et faire en sorte que les choses arrivent. C'est souvent sortir de sa zone de confort, c'est oser, c’est créer. C'est vivre sa vie.


Alors comment jouer le jeu et être gagnant ?


Jouer pour gagner c’est un choix conscient de ne pas rejeter ce qui pourrait vous sembler menaçant. C'est être à l'écoute des opportunités qui s’offrent à vous, c'est oser rêver, être à l'écoute de soi-même. C'est être engagé envers vous à vivre la vie que vous voulez vivre. C'est sortir de sa zone de confort. C’est se poser les vraies questions, c’est prendre le temps de s’écouter et de voir ce qui est présent dans notre vie.

Est-ce que je fais ce que je veux faire ?

Est-ce que ma vie, mon travail ont un sens ?

Est-ce que je suis engagé avec cette personne ou je passe du temps avec quelqu'un ?


Être le gagnant ne veut pas dire se battre contre quelqu’un, ni contre quelque chose. Gagner c’est se dépasser et se mesurer à SOI-MÊME. Le mot compétition est formé de l’étymologie du latin « competere » : «chercher ensemble» ou de «travailler ensemble». Et si je me trompais ?


Et si je n’y arrivais pas ? La peur vous rattrape ? Pourtant, qu'est-ce qui pourrait arriver dans votre pire scénario ? L'échec ? C'est notre mode d'apprentissage ! On apprend de nos erreurs. On ne peut pas toujours tout réussir du premier coup. Rappelez-vous de la première fois où vous êtes montés à vélo ? Avez-vous réussi instantanément ? Vous avez recommencé, recommencé et y êtes enfin arrivés. Vous avez appris de fois en fois. Vous avez retenu ce qu'il ne fallait pas faire pour enfin y parvenir. Faites-vous confiance. Mordez dans l'aventure !


Les réponses sont loin d’être certaines ? Et puis après ? Jouer pour gagner nous demande d’être confortable avec l’inconfortable ! C'est aussi prendre le risque d’être heureux.

Rêver, se lever et agir.

Alors, qu’attendez-vous ?

lundi 7 septembre 2009

La réussite : masculin pluriel ou féminin singulier ?



Inspirée par une lecture que j'avais découpée il y 2 ans, je me suis questionnée sur la perception que nous pouvions avoir de la réussite. Selon la définition du Larousse la réussite serait un résultat favorable, un succès.


Nous revoilà donc en face du fameux succès. Le succès se nourrit d’ambitions, d’objectifs, de réalisations. Il peut être de nature professionnelle et/ou personnelle. Mais se conjugue-t-il de la même façon au masculin singulier qu’au féminin ?

Depuis toujours, l’homme ambitieux est bien vu. Son désir de pouvoir, sa réussite professionnelle et sociale lui sied bien. Réussite professionnelle = le succès tout court.

Mais quand est-il des femmes ?

De par notre histoire, les femmes ont été longtemps confinées à la maison, aux tâches domestiques, à l’éducation des enfants et à la gestion du budget.

Selon Mme Robin Chase, « Dans tous les pays les femmes sont connues comme les organisatrices de la famille. Elles ont souvent à jongler pour élever leurs enfants, s'occuper de leurs parents âgés, faire les courses, faire le ménage et gérer l'entreprise familiale. Notre capacité à mener plusieurs tâches de front et à nous organiser fait de nous de grandes créatrices d'entreprise. » 2

Pourtant en 2006, seulement le tiers des entreprises canadiennes étaient dirigées par des femmes. Une partie de la réponse réside certainement à une question existentielle : la réussite au féminin ne repose pas que sur sa réussite professionnelle. La pression sociale lui ordonne de réussir également sa vie personnelle. Difficile de se départir de nos vieux stéréotypes. Une carriériste est bien vue à condition qu’elle soit une bonne maman (et que dire de celle qui ont fait le choix de ne pas en avoir !!), qu’elle s’occupe de sa famille, qu’elle ne s’absente pas trop souvent, etc. Les femmes sont toujours confrontées à leurs choix : celui de faire abstraction des pressions sociales et leurs désirs fondamentaux de s’accomplir dans leur travail. Celles qui osent vivent alors le sentiment de devoir performer dans toutes ses sphères. L’urgence d’être « parfaite » fait son entrée suivi de près par l’impression de ne pas être à la hauteur. D’ailleurs, une étude montre qu’un homme qui a 50% des compétences requises tente sa chance alors qu’une femme qui a 75% des compétences requises se dit : « Non, ce n’est pas pour moi. » 3
Serions-nous donc les responsables finalement ?


La culpabilité se conjugue elle au féminin !

Combien de fois ai-je entendu des femmes de tout acabit éprouver le sentiment de culpabilité d’envoyer son enfant à la garderie ? Combien de fois ai-je entendu qu’il était mal vu de passer plus de temps au travail qu’à la maison ? Combien de fois nous a-t-on dit que c’était « la femme » qui était le noyau familial ? Qui se devait de garder les liens avec la famille, l’école, les rendez-vous de routine (dentiste, pédiatre, etc) ? Ouf ! Lourd à porter toutes ses responsabilités ? Alors pourquoi les prenons-nous ?

Je vois déjà la surprise sur vos visages en lisant cette phrase ! Oui je crois que nous sommes les seules responsables. C’est à nous d’affirmer ce que nous voulons et d’être à l’écoute de qui nous sommes vraiment. Assumons le fait que nous soyons plus heureuses et épanouies au travail s’il en est question. Assumons également notre rôle de femme au foyer si c’est ce que nous désirons. Soyons où nous voulons être parce que c’est que nous avons choisi.

Personnellement, j’ai fait le choix de rester à la maison plus longtemps avec mes enfants. Combien ? Ça été différent d’un à l’autre. Une chose est sûre : quand à la fin de mon 2e congé de maternité nous sommes déménagés à l’achat de l’entreprise et que le congé s’est prolongé plus longtemps que prévu, il n’était plus question de choix. Au bout de presque 1 ½ an, j’ai eu une place en garderie. Je suis retournée au travail. J’avoue franchement qu’il était grand temps. Je ne suis pas une femme heureuse au foyer. Je relève les défis que m’apporte mon statut d’entrepreneure. J’aime entreprendre, gérer, planifier autre chose que la maisonnée. Pour moi, l’équilibre se trouvait là. Être une maman heureuse et épanouie dans le rôle qu’elle avait choisi. Vaut mieux une maman moins longtemps à la maison mais contente d’y retourner qu’une maman toujours là qui a juste le goût de la quitter.

Réussir c’est s’accorder la liberté de donner le meilleur de soi. C’est faire de son existence quelque chose de bien. C’est savoir cerner et utiliser ses forces en regardant l’avenir avec la certitude de pouvoir accomplir ce qu’on veut accomplir. Enfin, c’est chercher en soi la passion pour obtenir ce qu’on veut de la vie. 1

Ma conclusion ? La réussite se conjugue au présent, au masculin comme au féminin. Elle est selon moi l’équilibre entre ce que je veux faire et qui je veux être. Elle s’accorde avec mes désirs, mes objectifs, mes réalisations. Au fond, la réussite est synonyme de bonheur. Être heureux n’est–il pas le plus beau signe de réussite ?


Source

1. Femmes Plus, mars 2007 « Oser réussir »
2. American.gov, « Les femmes et la création d'entreprise aux États-Unis et à l'étranger »
3. Usinenouvelle.com, « Gérer sa carrière »
4. Lesaffaires.com

dimanche 28 juin 2009

Ce succès qui dérange....


L'envie veut abaisser et l'émulation égaler. L'une s'afflige des succès, l'autre y aspire. Celle-là est jalouse de tout mérite et l'autre en est ambitieuse. Carnets tome 1, 31 août 1797 Citations de Joseph Joubert


Vous est-il déjà arrivé de susciter la jalousie ? D'être critiqué, rabaissé ? Avez-vous déjà suscité l'envie ?

Je me suis penchée sur la question ayant été moi-même touchée par une personne de mon entourage.

Par définition, l'envie est un sentiment de convoitise à la vue du bonheur, des avantages d'autrui. Et la question que je me pose est: POURQUOI ?

Je me suis donc mise à la recherche sur le sujet sur le net. RIEN. Je ne trouve rien de tangible en tapant "succès et envie" si ce n'est des gens populaires qui ont commenté le sujet comme Céline Dion ou Denis Monette. Bien loin de notre réalité à nous ! Je me suis alors rappelée une auteure, Lillian Glass qui m'avait séduite par un livre qui s'intitule " Comment s'entourer de gens extraordinaire". La même auteure a aussi publié un livre " Ces gens qui vous empoissonnent l'existence... "

Ainsi, selon Lillian Glass, les deux traits communs à toutes les personnes toxiques sont le manque d'estime de soi et le sentiment d'insécurité. Les recherches démontrent en effet que les personnes qui ont peu d'estime pour elles-mêmes essaient soit de saboter leurs relations avec les autres, soit de tout faire pour se sentir importantes.

Le fait qu'elles s'y prennent de façon mesquine ou insensible démontre simplement qu'elles sont jalouses ou qu'elles ont peur de quelque chose que vous ou d'autres personnes représentez. Plus précisément, les sentiments de jalousie font surface quand elles ont l'impression de ne pas être à la hauteur, quand il leur manque quelque chose. Elles ont alors recours à la critique, aux compliments équivoques ou aux plaisanteries déplacées pour se valoriser, pour camoufler le fait qu'elles sont mal dans leur peau, qu'elles se sentent inférieures. C'est ce qui peut motiver le patron à rejeter tout ce que vous lui proposez. Parce qu'il manque de confiance en lui, il ne peut supporter que vos idées soient meilleures que les siennes.

Dans le même ordre d'idée, la peur et l'insécurité engendrées motivent beaucoup de gens à faire des commentaires toxiques au sujet des autres. Toujours dans le but (conscient ou inconscient) de diminuer " son adversaire" , elles peuvent pousser quelqu'un à agir comme une véritable commère. Ainsi la personne toxique pense nuire au succès de l'autre, détruire sa réputation, se montrer importante en le faisant.

Par peur, par insécurité, cette personne tente encore aujourd’hui de me nuire personnellement, de nuire à mon entreprise et à tous ceux qui y travaillent par le fait même. En fait, je me rends compte que c’est à elle-même qu’elle nuit le plus.

J’ai toujours cru en la vérité et fait confiance à la vie. « Crache en l’air et ça te retombera sur le nez » me disait ma grand-mère.

Ce qui me pousse aujourd’hui à vous le partager, c’est mon souci d’intégrité, mes valeurs profondes qui vont dans le sens opposé. Parce que moi, je me réjouis du succès des autres, j’aime participer au succès des autres et surtout je m’inspire du succès des autres.

Je vous dirais, qu'aujourd'hui, le 28 juin 2009, je fais la paix avec cette histoire qui m'empoisonnait l'existence.

jeudi 18 juin 2009

Réflexion sur le succès

C'est en faisant des recherches sur le sujet de ma prochaine chronique que je suis tombée sur ce texte. Je n'aurais pu choisir de meilleurs mots pour exprimer ce qu'est ma conception du succès.
Doux et inspirant, j'avais envie de vous le partager.


Le succès, c'est de faire du mieux que nous pouvons,
et d'autant de façon qu'il nous est possible de le faire.

C'est d'être juste, honnête et vrai, pas seulement pour certaines choses,
mais dans tout ce que nous faisons.

Il faut toujours regarder en avant, jamais en arrière, et croire que tous vos rêves peuvent être réalisés.

Il faut toujours croire au meilleur de soi-même et croire en ses capacités.

Il faut oublier les erreurs que nous avons commises hier, les leçons que nous apprenons seront utiles aujourd'hui ...

C'est en rêvant les plus grands rêves et en visant toujours plus haut
que nous bâtissons un avenir plus brillant.

Il n’y a pas de limites aux buts que nous voulons atteindre ou au succès que nous désirons obtenir ... Nos possibilités sont aussi illimitées que vos rêves.

Quoi que nous cherchions dans la vie,
quels que soient nos rêves et nos espoirs de réussite,
quoi que nous aspirions à atteindre,
quels que soient nos plans ...

Tout peut nous appartenir si nous croyons
que nous le pouvons!!

Auteur inconnu

mercredi 3 juin 2009

Miroir, miroir. dis-moi qui est la plus fine ?



Qu’est-ce que l’estime de soi ?

C’est une aptitude à aimer qui l’on est, avec ses qualités, ses travers, ses limites, etc. C’est une attitude de respect qu’on se porte, de valeur qu’on donne à ses idées, à ses sentiments, à sa façon de vivre, à sa vision des choses. C’est avoir confiance en sa capacité d’évoluer, de créer, d’aimer et d’être aimée. L’estime de soi est faite notamment de l’opinion que l’on a de soi-même. Il fallait le dire...trop facile...il faut s'aimer tout simplement. Mais comment s'y prendre ? Comment être indulgente envers nous même ? Comment ne pas être vulnérable au jugement d’autrui et à la pression sociale et médiatique ?

Personnellement, c'est une quête que j'ai entrepris il y a 8 ans.: après un 2e accouchement et un 2e congé de maternité rien n'allait plus. Tout arrêté quand on a une carrière, quand on mise sur la valorisation par nos performances au travail, peut certainement entraîner cette remise en question quand la source qui nourrit l'estime n'est plus là.

Vient alors la quête où on veut se voir à travers les yeux de l'autre, à travers le regards des proches, où l'on cherche désespérément le moindre reflet d'une image conciliante, réconfortante. Et quand aucune lueur ne se pointe, c'est le noir le plus total....Qui suis-je ? Quelle est donc ma valeur ?

Parce qu'au fond l'estime de soi c'est la valeur que nous nous attribuons. Le problème, c'est que nous recherchons notre valeur sur des mesures et échelles externes à nous. Nous avons la fâcheuse habitude de nous mesurer à l'autre, à nos performances, à nos rôles sociaux. Alors arrêtons les inepties !

J'aurais envie de vous dire, donnez-vous de la valeur, reconnaissez-vous dans vos forces, dans vos talents. C'est quand on se reconnaît soi-même que la reconnaissance des autres sera présente. Quand vous vous aurez approprié toute votre valeur, personne ne pourra la discuter: elle vous appartient. Vous aurez alors toute votre force, toute votre puissance intérieure. Parce que l'estime de soi ne vient pas des autres, elle vous appartient et vous serez la seule à pouvoir l'alimenter.

Éléonore Roosevelt a dit un jour " Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement"

Ne cherchez plus ailleurs...Croyez en vous et l'on croira en vous.

mercredi 25 mars 2009

Qu'est-ce qu'un bon leader ?

Le leadership

Qu’est-ce qu’un bon leader?

Quelles qualités doit-il posséder?



Le leadership n’est pas relié à vos fonctions ou au prestige d’une entreprise : nous pouvons tous être des chefs de file dans tout ce que nous faisons. Le vrai leadership est affaire d’intensité, d’engagement et de force de caractère plus que du poste occupé.


Selon Luc Brunet, psychologue du travail et directeur du programme Psychologie du travail et des organisations de l'Université de Montréal, un bon leader est une personne extravertie, émotionnellement stable, capable d'agréabilité et douée en matière de relations interpersonnelles.« Imaginez un dirigeant nerveux, anxieux, qui panique en situation d'urgence, dit le psychologue : il ne se trouvera pas beaucoup de gens pour le suivre ».Tout est question de relations interpersonnelles de qualité :« C'est ici qu'intervient la notion d'intelligence émotionnelle, dit Luc Brunet. Comprendre ses émotions et celles des autres. Ceux qui possèdent cette aptitude montrent en même temps leur potentiel de leader. Mais ce n'est pas une habileté qu'on peut acquérir par magie, en deux ou trois jours de formation! »Un autre aspect du leadership réside dans sa capacité de communication. C’est être à l’écoute des gens afin de bien saisir le sens de leurs interventions, afin de poser les bonnes questions dans le but ultime d’obtenir les bonnes réponses.J’entends ici « leurs » bonnes réponses et non pas les « nôtres ». C’est également être cohérent :« les bottines doivent suivre les babines…» Et finalement être transparent. Savoir être clair dans nos messages va nous éviter bien des maux de tête!


Le leadership, selon moi? C’est une façon d’être qui inspire notre entourage. Cette façon d’être les encourage à réaliser leurs dons, à utiliser leurs forces et à s’accomplir.Elle les entraîne aussi à prendre la responsabilité de toutes les facettes de leur vie (au lieu de blâmer les autres!). Elle les amène à se consacrer à atteindre l’excellence dans toutes leurs occupations et à améliorer leur situation (et ce, même si elle est déjà bonne!).Le leadership, c’est aussi entrer en rapport avec les gens. Profondément, sincèrement, passionnément. C’est inspirer, motiver, entraîner, susciter l’enthousiasme. Les entreprises et la vie sont affaires composées de personnes : ne l’oublions pas!


Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers, disait le grand philosophe grec Socrate. Si c'est le début de la sagesse, c'est aussi, apparemment, le passage obligé vers le leadership.




SourcesBRUNET, L., SAVOIE, A., ROUSSON, M. (1998). Gestion des paradoxes dans les organisations : leadership et pouvoir, équipes et groupes, 4 (pp. 195-205). Québec : Presses Inter UniversitairesSharma, Robin, The Greatness guide, www.thegreatnessguide.comThe Greatness Guide
Source : www.thegreatnessguid...

lundi 23 mars 2009

Intro

Sous l'inspiration de mon amie Patricia Tessier, j'ai eu le goût de partager le quotidien d'une femme entrepreneure qui tour à tour au cours d'une journée revêt son costume pour jouer tous ces rôles: la femme d'affaire, la conjointe, la mère, l'indépendante, l'amie et j'en passe ! Aujourd'hui, c'est le grand saut !

Prise entre les baby-boomers et la génération Y, ma génération se veut une zone tampon entre la femmes moderne et celle d'autrefois. Nous voulons au même titre que nos mères et nos grand-mères, réussir là où elles performaient et être carriériste accomplie.
Et on se demande pourquoi ça coince !

Au cours des semaines, je m'amuserai à partager mes opinions, mes trucs, mes coups de coeur, mes "ouachs", inspirée par le moment, par vos commentaires et par mon quotidien.

Ma première lancée: " La théorie de la pointe de tarte"

Au plaisir de faire votre rencontre